Sorti le 11 juillet 2012, voici la suite du fameux Zuma. Toujours développé et publié par POPCAP, voyons si cette suite nous apporte son lot de nouveautés et de bonheur. Il est fort à parier que nos spécialistes du jeu addictif nous aient concocté de bonnes petites choses qui vont certainement nous rendre maboul.
On ne change pas une affaire qui roule
Notre super grenouille est donc de retour. Le principe reste inchangé. Un serpent de boules de différentes couleurs sort d’un trou et se dirige sur un chemin prédéfini, vers un crâne. Une fois le crâne atteint, eh bien c’est la fin de la partie. Votre batracien est toujours au milieu de cette enfilade et lance des boules de différentes couleurs pour réduire la taille du serpent. Vous devez vous arrangez pour faire des chaines d’un minimum trois boules pour les faire disparaitre. Ainsi vous ferez reculer l’enfilade afin qu’elle n’atteigne pas le crane. Certaines boules contiennent des bonus ou des multiplicateurs. Les bonus sont variés (bombes, éclair, laser, etc...). Voilà pour le principe, qui est donc resté inchangé.
Au pays des News
La nouveauté la plus sympa est l’arrivée d’un Boss de fin de stage. Tous les 10 niveaux, vous devrez en affronter un. Chacun d’entre eux a ses propres aptitudes, la technique pour les vaincre sera donc différente à chaque fois. Cette nouveauté casse le rythme dans les enchainements de niveaux et cela fait du bien. Vous débloquerez au fil du mode aventure des petits animaux. Chacun d’entre eux possède une aptitude de support, comme par exemple augmenter la vitesse de tir, augmenter le nombre de boules bonus. Ces aptitudes sont upgradables, grâce à des pièces d’or. Vous les obtiendrez à chaque fin de niveaux, en fonction de votre score et de votre temps. Au fur et à mesure de votre progression, vous débloquerez aussi de nouveaux modes de jeu. Le mode défi hebdo : il vous permettra de réaliser un objectif sur un niveau au hasard, le défi changeant chaque semaine. Le mode dément : il porte bien son nom, vous devrez terminez 10 niveaux de folie, et ce, sans possibilité de sauvegarder. Pour ce dernier mode, un conseil, prévoyez du temps. A la fin de ce mode, une surprise vous attend. Le mode combat de Boss : dois-je réellement développer ?
En définitif
Cela fait plaisir de croiser des éditeurs qui mettent du cœur à l’ouvrage. Cette suite vaut son pesant d’or, ou de cacahouètes, c’est comme vous voulez. Le plaisir du premier est toujours intact, et en plus vous trouverez un lot de nouveauté sympa. De véritables ajouts sont donc faits, et pas seulement un truc pourri pour calmer l’appétit des joueurs affamés. Je m’attendais par contre à trouver un petit mode en ligne de type combat, mais cette absence n’enlève rien au soft. Encore une fois POPCAP renouvèle l’exploit du petit jeu super addictif super bien réussi. La réussite est visiblement dans leurs habitudes, et on ne va pas se plaindre.
Pour enfoncer le clou je lui mettrais un petit 18/20.
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